Vous le reconnaissez ce symbole des girouettes directionnelles que vous avez sûrement pu découvrir en flânant à Nancy ?
La métropole de Nancy a mis en place trois parcours touristiques pour les piétons, sous forme boucles, invitant le visiteur à découvrir la ville, son histoire et les points d’intérêts remarquables
Vous trouverez, attaché à cet article, la dépliant qui va vous permettre d'explorer Nancy de long en large, à travers 3 parcours touristiques piétons

Du dimanche 23 au samedi 29 juillet 2023 aura lieu à Pont-à-Mousson la 84ème semaine fédérale du cyclo-tourisme.
Durant toute la semaine, plusieurs milliers de cyclistes arpenteront les pistes cyclables du secteur, à la découverte du patrimoine de la vallée de Moselle.
Les routes n'étant pas fermées, les participants devront respecter le Code de la Route en toutes circonstances, mais les automobilistes devront également être particulièrement vigilants lors de leurs trajets dans le secteur durant cette période.
Voici les informations sur les itinéraires empruntés par les cyclo-touristes :

Date	Parcours Route	Parcours Découverte
Dimanche 23 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte
Lundi 24 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte
Mardi 25 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte
Mercredi 26 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte
Jeudi 27 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte
Vendredi 28 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte
Samedi 29 juillet 2023	Parcours route	Parcours découverte

Compte tenu des orages violents attendus dans l’après-midi, la Ville de Nancy procèdera à la fermeture des parcs, des jardins et des cours d’école pour 15h30 au plus tard aujourd’hui.

Ces orages s'accompagneront en effet de rafales de vent annoncées entre 80 et 90 km/h. Une intense activité électrique est attendue.

Ils rouvriront ce mercredi matin au fur et à mesure, après contrôle des arbres et des bâtis par les équipes de la Ville de Nancy, afin de s'assurer qu'il n'y ait pas de risque de chutes

Ces concerts au 3 millions d'auditeurs dans le monde entier, débarquent à Nancy.
Les Cadellight, ce sont des concerts éclairés à la bougie, interprétés en direct par des musiciens.
A Nancy, c'est en l'église Saint Sébastien qu'ils se dérouleront dès le mois de septembre, inaugurant leur arrivé par l'interprétation des Quatres Saison de Vivaldi le 24 septembre à deux horaires différents, par le Quatuor à cordes - Agence Musicale de Paris.
Retrouvez toutes ces informations sur le site de l'organisateur.

Dans le cadre de sa programmation « L’été des festivals » et parce que c’est un rendez-vous annuel et incontournable pour France Télévisions, nous vous proposons une grande soirée sur France 5.

Opéra en 4 actes
Musique de Georges Bizet (1838-1875)
Livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d’après la nouvelle de Prosper Mérimée
Création : Opéra-Comique de Paris, 3 mars 1875

À quoi peut bien servir un metteur en scène si ce n’est à présenter son point de vue d’interprète sur l’œuvre dont il a la responsabilité.
Concernant Carmen, l’enjeu est considérable puisqu’il s’agit de l’un des opéras les plus joués dans le monde, ce qui signifie que les interprétations en ont été multiples...
Ainsi Carmen est généralement vue comme l’archétype de la femme revendiquant sa liberté ; et Don José est la victime quasi innocente au mieux d’une femme fatale, mais, le plus souvent, d’une garce ! Mais voilà la simplicité est dangereuse tant elle édulcore les propos les plus subtils.
Carmen n’est pas une garce ni une prostituée.
C’est une fille, jeune, qui tombe amoureuse comme elle respire. Elle ne demande rien à personne et encore moins à Don José, garçon violent ayant dû se réfugier dans l’armée suite à une rixe dans son village.
Carmen sera la victime de sa violence possessive. Cette jeune femme se fait assassiner parce qu’elle aime et qu’elle n’y peut rien. Alors oui, Carmen est fatale en ce sens qu’elle brûle qui la touche tout en se consumant elle-même. Mais elle est aussi une source fraîche offerte à qui veut se désaltérer.
Cela, Escamillo l’aura bien compris et c’est lui qu’elle aimera à la folie. Personne n’échappe à Carmen, pas même elle !
Jean-Louis Grinda - directeur des Chorégies d'Orange

DIRECTION MUSICALE Clelia Cafiero
MISE EN SCÈNE Jean-Louis Grinda
DÉCORS ET COSTUMES Rudy Sabounghi
COSTUMES Françoise Raybaud
ÉCLAIRAGES Laurent Castaingt
CHORÉGRAPHIE Eugénie Andrin
VIDÉOS Gabriel Grinda
ÉTUDES MUSICALES Kira Parfeevets
COORDINATION CHORALE Stefano Visconti
CARMEN Marie-Nicole Lemieux
MICAËLA Alexandra Marcellier
FRASQUITA Charlotte Despaux
MERCÉDÈS Eléonore Pancrazi
DON JOSÉ Jean-François Borras
ESCAMILLO Ildebrando D’Arcangelo
ZUNIGA Luc Bertin-Hugault
LE DANCAÏRE Lionel Lhote
LE REMENDADO Jean Miannay
MORALÈS Pierre Doyen
LILLAS PASTIA Frank T’Hézan
DANSEUSE ESPAGNOLE Irene Olvera

Orchestre national de Lyon
Chœurs des Opéras Grand Avignon et de Monte-Carlo
Maîtrise de l’Opéra Grand Avignon
Production de l’Opéra de Monte-Carlo, de l’Opéra national du Capitole de Toulouse et de l’Opéra de Marseille.

Source : France 5 Press

? Samedi 1er juillet :
⚠️MISE A JOUR A 16H00
?Maintien des navettes Zenith Open Air à partir de 16h30
Informations à consulter ici ?https://t.co/U8pi68VykF pic.twitter.com/4WsGdbmKZk

— Réseau Stan (@ReseauStan) July 1, 2023

⚠️Suite à une décision gouvernementale et pour des raisons de sécurité, les navettes Zénith Open Air ne seront pas effectuées ce soir. https://t.co/pUJsDIDfBx

— Réseau Stan (@ReseauStan) July 1, 2023

Ce sera un rendez-vous exceptionnel ! Le Jardin Botanique Jean-Marie Pelt à Villers-lès-Nancy va être le théâtre de l’évènement de l’année dans le monde botanique : il attend en effet la floraison, très rare, de son Arum titan.

L’Arum titan (Amorphophallus titanum), appelé communément le « Pénis de Titan », est une plante rare et endémique des forêts tropicales de Sumatra. Elle porte la plus grande « fleur » au monde ! La floraison de l'Arum titan dure seulement 48 heures environ. C’est un spectacle autant visuel qu’olfactif : l'odeur caractéristique de viande avariée diffusée par cette plante attire, dans son milieu naturel, les insectes pollinisateurs.

Le deux dernières occasions pour le public de découvrir cette floraison étaient en 2009 à Brest et en 2014 à Nantes, avec le déplacement à chaque fois d’une foule impressionnante de spécialistes et de curieux.

Le Jardin botanique a reçu cette plante sous la forme de semis en 2018, en provenance du Jardin botanique de Meise en Belgique. Après 5 ans aux soins des jardiniers-botanistes du Jardin Botanique Jean-Marie Pelt, et après plusieurs cycles de croissance, le petit semis s’est aujourd’hui mué en un tubercule de 30 kg.

La floraison est attendue dans la deuxième quinzaine du mois de juillet. Mais seule la plante décidera de l’heure et de la date de sa floraison. Ce sera la première floraison de l’Arum Titan à Nancy.

La floraison de cette espèce emblématique est également l'occasion d'attirer l'attention sur cette plante menacée de Sumatra : son habitat naturel, les forêts tropicales humides, disparait dramatiquement à cause de la déforestation et de la culture du palmier à huile.

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Update : 11 juillet 2023

Floraison exceptionnelle et éphémère d’un géant : l’Arum titan

L'Arum titan a été découvert en 1878 par Odoardo Beccari. Le botaniste italien a tenté d'expédier les bulbes vers l’Europe, mais les douanes françaises les ont retenues pour empêcher la propagation du phylloxéra, ravageur de la vigne. Quelques graines ont survécu, contre toute attente. Un seul semis a été envoyé aux jardins botaniques de Kew, à l'ouest de Londres, où Odoardo Beccari avait autrefois étudié. Il y a fleuri en 1889 (année de sa publication) et en 1926 (première ouverture aux grand public).

Il produit l’une des plus grandes "fleurs" au monde ! En réalité, il s’agit d’une inflorescence (groupe de fleurs), il serait donc plus juste de dire que c'est l'linflorescence simple (monopodiale) la plus grande au monde. Il partage le podium avec le palmier Tallipot (Corypha umbraculifera), la plus grande inflorescence composée.

L'Amorphophallus titanum de Nancy provient de quelques semis donnés par le Jardin botanique de Meise en 2018. Il a été cultivé initialement en pot et puis mise en pleine terre dans la serre Plantes & Animaux pendant 3 ans (depuis 2020). La dernière période en végétation (produisant une feuille) a été longue de 1 an et 4 mois, pendant laquelle il a été alimenté toutes les semaines avec une alternance entre deux engrais très importants pour la croissance du tubercule. Le tubercule de 30 kg a été déterré en janvier 2023 et rempoté au sec.

Après seulement 5 ans de culture la floraison aura lieu en juillet 2023. De l’apparition du bourgeon au-dessus du niveau de la terre le 5 juin 2023 jusqu’à l’ouverture de la spathe, il faut en effet environ 1 mois et demi. Le spadice produit de la chaleur pouvant atteindre 35 °C (95°F), c’est ce que l'on appelle la thermogenèse. Quand la pollinisation a lieu, une infructescence (groupe de fruits) se développe et mûrit en 6 à 12 mois. Les fruits sont généralement dispersés par des oiseaux tels que le Calao rhinocéros (Buceros rhinoceros). Les fruits contiennent 1 à 2 graines. Pour qu'un semis devienne une plante adulte, il faut entre 3 et 10 ans. L'inflorescence de l'Arum Titan de Nancy ne sera pas pollinisée : il faudrait du pollen originaire d’une autre inflorescence.

Le nom indonésien de l ’Arum titan est Bunga bangkai.

Dans le cadre de la 45e édition du Livre sur la Place , du vendredi 8 au dimanche 10 septembre 2023, sera remis le Prix Stanislas, meilleur premier roman de la rentrée littéraire, parrainé par Groupama.
Présidé cette année par l’écrivaine Clara Dupont-Monod, ce prix a pour vocation de mettre en lumière un premier roman au cœur d’une rentrée littéraire qui rend la visibilité des primo-romanciers chaque année plus ardue.
Autour de Clara Dupont-Monod, le jury du prix Stanislas est composé de cinq membres professionnels : Nathalie Broutin (France Bleu), Baptiste Liger (Magazine Lire), Daniel Picouly (France Ô), Valérie Susset (L’Est Républicain), Pierre Vavasseur (Le Parisien) et de collaborateurs de Groupama sélectionnés sur lettre de motivation.
Le jury de la 8e édition du Prix Stanislas s'est réuni à Nancy le mercredi 21 juin et a annoncé sa sélection.
Les livres en lice pour cette 8e édition sont :

• Clément Camar-Mercier, Le roman de Jeanne et Nathan (Actes Sud)
• Amaury Barthet, Le diplôme (Albin Michel)
• Raphaël Zamochnikoff, La maison vénéneuse (Belfond)
• Julie Héraclès, Vous ne connaissez rien de moi (JC Lattès)
• Vidya Narine, Orchidéiste (Les Avrils)
• Laura El Makki, Combien de lunes (Les Escales)
• Joséphine Tassy, L'Indésir (L’Iconoclaste)
  
• Aline Caudet, Déchirer le grand manteau noir (Viviane Hamy)

Doté de 3 000 €, le Prix Stanislas assure également l’achat par Groupama de près de 500 exemplaires du roman du lauréat.

Les premiers romans à l’honneur

Grâce à la complicité du Théâtre de la Manufacture, trois comédiens prêteront leur voix aux premières pages des huit premiers romans présélectionnés par le jury du Prix Stanislas-Groupama. Un moment d’échange entre les comédiens et les primo-romanciers suivra chaque lecture.

• 2016 : Elodie Llorca pour La correction (éditions Rivages)
• 2017 : Sébastien Spitzer pour Ces rêves qu'on piétine (Éditions de l'Observatoire), prix Emmanuel-Roblès
• 2018 : Estelle-Sarah Bulle pour Là où les chiens aboient par la queue (Éditions Liana Levi), Prix Eugène Dabit du roman populiste, Prix Libraires en Seine
• 2019 : Victoria Mas pour Le bal des folles (éditions Albin Michel), Prix Renaudot des Lycéens, Prix Première Plume
• 2020 : Laurent Petitmangin pour Ce qu’il faut de nuit (éditions La Manufacture de Livres), Prix Femina des Lycéens, Feuille d'or de la ville de Nancy, Grand Prix SGDL du Premier Roman
• 2021 : Frédéric Ploussard pour Mobylette (éditions Héloïse d'Ormesson)
• 2022 : Laurence Potte-Bonneville pour Jean-Luc et Jean-Claude (Verdier)

La Fête du Cinéma est de retour dans TOUTES les salles de CINÉMA pendant 4 jours.
Du dimanche 2 au mercredi 5 juillet inclus, rendez-vous dans votre cinéma pour profiter d’un tarif unique de 5€ la séance pour tous et pour tous les films.
Une bonne raison pour assouvir votre soif de partager des émotions ensemble dans les salles obscures !

Dans le contexte de la préparation des Jeux olympiques de Paris en 2024 et la programmation de l’ «Olympiade culturelle 2023-2024 », l’AMAL (Archives modernes de l’architecture lorraine) se propose d’organiser une journée d’étude consacrée à l’architecture et au patrimoine du sport dans la région Grand Est le 10 octobre 2024.
Attestée depuis l’Antiquité, la pratique sportive s’est d’abord exercée dans des édifices, dont il reste peu de traces à l’image des vestiges archéologiques de l’amphithéâtre de Grand (Vosges) et des bains romains de Plombières-les-Bains (Vosges) davantage liés au thermalisme. Sous l’Ancien Régime, des nouveaux lieux de pratiques sportives se développent : les salles de jeu de paume ou les manèges, comme celui de la Barollière à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Après la défaite de 1870-1871 l’éducation physique devient un enseignement obligatoire et de nombreux équipements pérennes apparaissent, notamment les gymnases, donnant lieu parfois à des architectures remarquables. Dès le début de l’Entre-deux-guerres, certaines municipalités mènent une politique de développement sportif et le Front populaire développe des lieux dédiés aux sports et aux loisirs. Cette démocratisation, bien marquée durant la période des Trente Glorieuses, voit se poursuivre le maillage du territoire français sous l’impulsion du secrétariat d’État à la Jeunesse et aux Sports qui engage une politique constructive d’ampleur en faveur des équipements sportifs. À partir des années 1980, la conjugaison de la loi sur l’architecture, de la décentralisation et de la généralisation des concours d’architecture, impulse à nouveau un champ d’innovation dans l’architecture du sport. Aujourd’hui, les pratiques évoluent et les infrastructures existantes sont amenées à s’adapter, tandis que les préoccupations de performance énergétique s’imposent aux bâtiments sportifs comme un nouveau défi de création architecturale.
Cette journée d’étude s’attachera à traiter plusieurs thèmes, liés à l’évolution des équipements sportifs et à leur histoire de 1870 à nos jours sur le territoire de la région Grand Est:

• Organisation des pratiques sportives : politique publique, rôle de l’État, des collectivités territoriales et des fédérations ; maillage du territoire et installation des infrastructures architecturales, urbaines et paysagères ; le financement des équipements et de leur fonctionnement.
• Évolution et diversité des pratiques sportives : rôle social (loisirs de la bourgeoisie et de la classe ouvrière, sport et industrie, démocratisation) mais aussi rôle militaire, scolaire et sanitaire (santé et thermalisme) et leur influence sur les types et modèles architecturaux.
• Réalisation de bâtiments spécifiques ou sériels (gymnase, vélodrome, stade, piscine...) et leur insertion dans l’urbanisme et le paysage. L’évolution des installations et leur réhabilitation, au regard des contraintes environnementales actuelles.
• Reconnaissance patrimoniale, culturelle et sociale : label « architecture contemporaine remarquable » ou protection au titre des monuments historiques, sensibilisation des publics.
• L’architecture du sport et sa représentation : affiches, tableaux, fanions, bannières...

Les propositions de communication, d’une vingtaine de lignes accompagnée d’une brève biographie, sont à faire parvenir à :
Au plus tard le 31 décembre 2023
Un comité scientifique examinera les propositions courant janvier 2024 et communiquera sa réponse.