AUJOURD'HUI A NANCY...
L'actualité culturelle à Nancy et ses environs

La culture passe aussi par le média radiophonique. Nous vous partageons ici les prochains programmes de cette radio.

1 juin 2023

Toute l'année, le choix des meilleures archives de France Culture, une mémoire radiophonique. Rendez-vous sur l'application Radio France pour découvrir tous les autres épisodes.
  • Heure de culture française - Anniversaire : 1753 : Naissance de Vergniaud (1ère diffusion : 02/06/1953)
    durée : 00:10:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Radiodiffusion Télévision Française (RTF) - Avec Timmory
  • Au cadran de mon clocher - Maurice Genevoix 2/2 : -4 : La grande école, les élèves, les maîtres, -5 : Les fêtes au village, -6 : Les fêtes corporatives (1ère diffusion : 19 et 26/04/1958, 10/05/1958 France II Régionale)
    durée : 00:54:53 - Au cadran de mon clocher - Maurice Genevoix 2/2 : -4 : La grande école, les élèves, les maîtres, -5 : Les fêtes au village, -6 : Les fêtes corporatives (1ère diffusion : 19 et 26/04/1958, 10/05/1958 France II Régionale) - Par Pierre Lhoste - Avec Maurice Genevoix
  • John Irving : "Je me souviens de l'exaltation que j'ai ressentie à lire 'La Chambre de Giovanni' de Baldwin"
    durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - John Irving : "Je me souviens de l'exaltation que j'ai ressentie à lire 'La Chambre de Giovanni' de Baldwin"
  • Frank Capra ou la comédie de l'ambiguïté
    durée : 01:24:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Sous le titre "Frank Capra ou la comédie de l’ambiguïté" avec les critiques de cinéma Noël Simsolo et Dominique Rabourdin, Michel Cazeneuve présentait la vie et l'oeuvre d'un des maîtres de la comédie américaine. C'était dans les "Mardis du Cinéma" le 3 mai 1988. - invités : Dominique Rabourdin; Noël Simsolo réalisateur, comédien, scénariste, historien du cinéma
  • Nuits magnétiques - Les Eloignés de Dieu 3/4 : L'affection désordonnée (1ère diffusion : 25/02/1988)
    durée : 01:20:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Elisabeth Huppert - Avec Lucien Israël - Réalisation Jacques Taroni
  • Au cadran de mon clocher - Maurice Genevoix 1/2 : -1 : Présentation, -2 : Le Grand Bourg : vie paysanne et vie citadine, -3 : Les écoles du village (1ère diffusion : 29/03/1958, 05 et 12/04/1958 France II Régionale)
    durée : 00:56:06 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Pierre Lhoste - Avec Maurice Genevoix
  • Connaissance de l'homme - La magie en Afrique noire (1ère diffusion : 08/05/1950)
    durée : 00:25:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Radiodiffusion Télévision Française (RTF) - Avec Marcel Griaule
  • Panorama - Brest ou Le bout du monde 1/2 (1ère diffusion : 30/05/1979)
    durée : 00:44:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Panorama - Brest ou Le bout du monde 1/2 (1ère diffusion : 30/05/1979) Par Michel Bydlowski et Dominique Le Reun - Avec le Commandant Patrick de La Rochebrochard, le Lieutenant de vaisseau Parade, l'officier de quart, un matelot, M. Trétout, Jacques Kérouas (directeur du Centre), Robert Joubin (membre du groupe vocal Yverdalgues), Gaby Le Bot (conseiller municipal), Léontine Drapier-Cadec et Louis-Marie Bodènes - Réalisation Nicole Gandrey-Réty
  • Les os, les cendres et l’Etat
    durée : 00:31:06 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2011, l'émission "La suite dans les idées" propose une thématique sur le traitement des morts et de la mort dans les sociétés occidentales contemporaines. Elle donne la parole au sociologue Arnaud Esquerre, qui publiait la même année un essai sous le titre "Les os, les cendres et l'État". En 2011, le chercheur Arnaud Esquerré s'exprime au micro de Sylvain Bourmeau sur le thème "Les os, les cendres et l'État" dans l'émission "La suite dans les idées". Il existerait un "déni de la mort" dans les sociétés occidentales. Cette thèse est assez ancienne, elle s'est exprimée dans les années 1970 et 1980 sous la plume d'intellectuels comme Philippe Ariès ou Louis-Vincent Thomas. Un déni de la mort, ou pour le dire en d'autres termes, une volonté générale de sortir la mort des représentations collectives et de la vie sociale. Cette thèse qui a pu faire quasiment consensus est remise en cause depuis quelques années, notamment, en France, par les travaux d'Arnaud Esquerre. Selon lui, l'État, les pouvoirs publics, ont au contraire investi largement le champ de la mort ces dernières décennies. On légifère sur les moindres détails des rituels funéraires et le devenir des restes humains est plus que jamais une affaire publique. L'État ne s'est jamais autant soucié des morts Ces recompositions modernes de nos rapports à nos défunts s'inscrivent dans une histoire très longue. Une histoire dont l'un des fils directeurs serait une volonté de l'Etat d'enraciner les morts, de les attacher à un territoire et bien sûr à une communauté nationale... Cet enracinement n'a pourtant rien d'évident. En citant les travaux de Marcel Détienne, Arnaud Esquerre observe que pour les Grecs anciens les morts étaient "légers" : on pouvait les laisser derrière soi, par opposition nos défunts modernes sont "lourds". Cette question du "poids relatif des morts", et beaucoup d'autres, est au programme de ce dialogue passionnant. Par Sylvain Bourmeau Réalisation : Bruno Sourcis La suite dans les idées - Les os, les cendres et l'Etat (1ère diffusion : 19/11/2011) Édition web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France Retrouvez l'ensemble de la  Nuit des morts, voyage des âmes
  • Nuits magnétiques - Les Eloignés de Dieu 2/4 : Chimène : tours et détours (1ère diffusion : 24/02/1988)
    durée : 01:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Nuits magnétiques - Les Eloignés de Dieu 2/4 : Chimène : tours et détours (1ère diffusion : 24/02/1988) Par Elisabeth Huppert - Avec Geneviève Huttin - Réalisation Jacques Taroni
  • Jean Moulin, figure emblématique de l'homme d'Etat clandestin ?
    durée : 00:58:13 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Jean Moulin pourrait-il symboliser la figure emblématique de l'homme d'Etat clandestin ? Dans une conférence donnée à la Bibliothèque nationale de France, et diffusée en 2003 dans "L'Eloge du savoir", l’historien Jean-Pierre Azéma met en perspective ce postulat. - invités : Jean-Pierre Azéma Professeur émérite à Sciences Po.
  • Une vie une oeuvre - James Bond 007 contre Ian Fleming (1ère diffusion : 05/09/2015)
    durée : 01:05:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Une vie une oeuvre - James Bond 007 contre Ian Fleming (1ère diffusion : 05/09/2015) Par Martin Quenehen - Avec Marie-Hélène Brousse, Vincent Chenille, Matthieu Letourneux et Laurent Queyssi - Réalisation Doria Zénine
  • Un livre, des voix - Kurt Tucholsky : Un été en Suède, Chroniques allemandes (1ère diffusion : 24/03/1982)
    durée : 00:40:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Pierre Sipriot - Réalisation Bronislaw Horowicz
  • Nuits magnétiques - Les Eloignés de Dieu 1/4 : En pleurant, j'ai franchi le porche (1ère diffusion : 23/02/1988)
    durée : 01:20:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Elisabeth Huppert - Avec Lucien Israël (psychanalyste), Roland Sublon (médecin psychanalyste et ex-doyen de la faculté de théologie catholique de Strasbourg), René Eyers (professeur de théologie), Pierre Lauterey (ex-prêtre et créateur de l'association des prêtres mariés) et Micheline Lauterey - Réalisation Jacques Taroni
  • Souvenirs de pénombre : au cinéma dans les années 50
    durée : 01:18:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Critiques de cinéma, écrivains, projectionnistes, scénaristes, ouvreuses. pour cette émission ils racontent les souvenirs nostalgiques liés au cinéma de leur enfance et jeunesse. Un numéro des "Nuits magnétiques" intitulé "Souvenirs de pénombre" diffusé pour la première fois en octobre 1995. C'était avant le règne sans partage de la télévision, bien avant les magnétoscopes, et encore bien avant les DVD et les plateformes de "vidéo à la demande". James Dean était encore un géant, les Indiens n'étaient pas encore en V.O à l'Ouest du Rio Bravo, et l'heure de la dernière séance n'avait pas encore sonné pour les Louxor, Majestic, Eden, Météore et autres Royal, Escurial, Trianon et Régent, salles de quartier ou grands cinémas des avenues et des boulevards de nos grandes villes. Dans les années 50 et 60, c'est dans l'obscurité de ces cinémas que s'est faite une bonne part de l'éducation de ceux qui témoignent dans cette émission. On se donnait rendez-vous le jeudi avec les copains pour un western ou un film de corsaire, et le samedi ou le dimanche en famille pour une comédie ou un drame sentimental. En 1995, devenus critiques de cinéma, écrivain, projectionniste, scénariste, ouvreuse ou producteur, ils rassemblent leurs souvenirs pour témoigner dans les Nuits Magnétiques des émotions procurées par le cinéma dans leur enfance et leur jeunesse. Des émotions indissociables des lieux, des salles de cinéma où ils les avaient éprouvées. Cinéma des quartiers de Paris et d'ailleurs, cinémas historiques, comme le Studio 28, le Max Linder, le Gaumont Palace, le Mac Mahon, mais aussi la Cinémathèque de la rue d'Ulm, c'était à un voyage dans l'histoire des salles de cinéma que Yves Builly conviait ses auditeurs dans. Souvenir de pénombre. un documentaire diffusé la première fois le 3 octobre 1995. Avec Christian Chauvet, Michel Grisolia, Madame Georgette, Olivier Des Clercs de Beaumets, Christian Belaygue, Pierre Rissient, Lucien Logette, Michel Boujut, Jean-François Chapu et Francis Lacloche - Avec des extraits de films en illustration. Par Yves Builly Réalisation : Isabelle Yhuel Nuits magnétiques - Souvenirs de pénombre (1ère diffusion : 03/10/1995) Indexation web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
  • Danny Elfman et Tim Burton, deux saltimbanques à Hollywood
    durée : 00:56:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Forts d'une amitié et d'une collaboration longues de trois décennies, Tim Burton et Danny Elfman nous emportent avec eux dans l'obscurité lumineuse de leur univers décalé au fil de cet entretien de 2013. Retour vers le passé pour écouter ces voix venues d'ailleurs.
  • Une vie, une oeuvre - Thomas Edward Lawrence, la passion de la pureté (1ère diffusion : 25/10/1984)
    durée : 01:25:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par André Velter - Avec Jacques Dars et Jean-Christophe Victor - Réalisation Mireille Krauss
  • Heure de culture française - La théologie chiite à l'époque Safavide (1ère diffusion : 27/05/1957 Chaîne Nationale)
    durée : 00:14:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Radiodiffusion Télévision Française (RTF) - Avec Henry Corbin (philosophe orientaliste)
  • Documentaire du vendredi - Relecture : Lamartine (1ère diffusion : 17/07/1981)
    durée : 01:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Hubert Juin - Réalisation Anne Lemaitre Par Hubert Juin - Réalisation Anne Lemaitre
  • "Le Salon de musique" de Satyajit Ray
    durée : 01:26:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1989, la collection Ocora Radio France édite la BO du film "Le Salon de Musique" de Satyajit Ray. L'occasion pour le producteur Jacques Dupont de consacrer un numéro d'"Opus" à ce chef d'oeuvre du cinéma (1958), et plus largement à la place de la musique dans l'oeuvre du cinéaste bengali. Au cours de cette émission "Opus" enregistrée en 1989, à laquelle participe le critique de cinéma Gilles Gourdon, les auditeurs ont pu entendre les propos de Satyajit Ray, interviewé quelques mois plus tôt chez lui, à Calcutta. Il évoque les circonstances qui l'ont amené à tourner Le Salon de musique : "Alors que j'étais alité avec la jambe dans le plâtre, j'ai lu une courte nouvelle d'une dizaine de pages intitulée " Jalsaghar", "Le Salon de musique". Après un petit accident à Bénarès où je suis tombé au bord du Gange , raconte le réalisateur*, je suis resté alité deux mois et demi.* Il poursuivait : A l'époque, après l'échec de mon film "Aparajito" ("L"invaincu", 1956), je réfléchissais à une histoire potentielle avec de la musique, et j'ai lu une courte nouvelle d'une dizaine de pages, « Jalsaghar », (du romancier bengali Tarasankar Banerjee) . A travers l'histoire d'un aristocrate, patron de la musique, des arts et de la danse, l'écriture du scénario s'est révélée comme une étude sur la décadence du féodalisme. J'ai souhaité alors que toute la musique du film soit de la musique classique indienne , absolument classique". "C'est un film qui a eu un succès raisonnable en Inde", considère Satyajit Ray trente ans après le tournage, "nous n'avons pas perdu d'argent, nous en avons même gagné un peu. Mais aujourd'hui encore, je ne comprends toujours pas les raisons de son succès en France et en Occident ! Lorsque j'ai fait ce film, personne n'avait jamais entendu parler du sitariste Ravi Shankar, il est devenu célèbre bien plus tard, tout comme le sitariste Vilayat Khan ou le joueur de sarod (luth) Ali Akbar Khan." Satyajit Ray évoque également ses méthodes de travail avec les virtuoses de la musique classique indienne, qui n'étaient pas des compositeurs de musiques de films : "Je leur décrivais des climats différents dans la salle de montage, ils choisissaient alors des ragas et ils enregistraient des pièces de trois minutes". Selon le critique Gilles Gourdon : "La musique de Satyajit Ray n'est pas dans la partition, elle est dans la structure et la composition des images". Satyajit Ray dévoile enfin les raisons pour lesquelles, à partir de son long-métrage Trois Filles, (1961), il a décidé de composer lui-même la musique de ses films. Des musiques qui, en fonction des sujets, pouvaient s'inscrire dans la pure tradition de la musique indienne ou se situer au contraire au confluent des musiques occidentales et indiennes. Par Jacques Dupont Avec Gilles Gourdon (critique de cinéma) et Satyajit Ray Lecture d'extraits du texte du "Salon de Musique" par Philippe Baury Réalisation Colette Chemama Rédaction web : Sylvain Alzial, Documentation Sonore de Radio France Opus - "Le Salon de Musique" de Satyajit Ray (1ère diffusion : 16/12/1989) Archive Ina-Radio France Retrouver l'ensemble des archives de la Nuit : Satyajit Ray, cinéaste du Bengale et du monde
  • L'invention du purgatoire, une révolution selon Jacques Le Goff
    durée : 00:27:54 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1995, dans une série des "Chemins de la connaissance" consacrée à l'enfer et au paradis, Jacques Munier reçoit l'historien Jacques Le Goff. Dans le second volet de cette thématique, intitulé "Les corniches du purgatoire", il défend l'idée originale du purgatoire envisagé comme un progrès. L'historien Jacques Le Goff est invité par "Les Chemins de la connaissance", à l'occasion d'une série consacrée à l'enfer et au paradis en 1995. Le grand médiéviste intervient dans le second volet de la série intitulé "Les corniches du purgatoire". Cela peut sembler étonnant mais dans la longue histoire des enfers, des paradis, et des différentes représentations de l'au-delà imaginés par toutes les civilisations depuis des millénaires, l'invention du purgatoire chrétien au XIIe siècle relève d'un certain progrès. Selon Jacques Le Goff : "Il y a un fait essentiel qui a beaucoup contribué à assurer le succès du purgatoire. Quand on va au purgatoire on est sûr d'être finalement sauvé. Le purgatoire c'est un lieu d'où part un sens unique. Purgatoire : direction paradis ! Pas de régression, on ne peut pas aller rétroactivement en enfer". Le purgatoire c'est un lieu d'où part un sens unique vers le paradis Ainsi, malgré sa réputation austère et ses épreuves qu'on imagine longues et pénibles, ce purgatoire sauve littéralement les âmes des défunts de la damnation éternelle. Et leur permet d'accéder au paradis malgré les péchés, les erreurs, les errements de leur vie terrestre. Ce progrès était même en son temps une révolution... qui n'était pas sans lien avec l'apparition de l'individu. Par Jacques Munier Réalisation : Michel Bossuet Les chemins de la connaissance - Les corniches du purgatoire (1ère diffusion : 31/10/1995) Édition web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France Retrouvez l'ensemble de la Nuit des morts, voyage des âme
  • La nuit sur un plateau - Antoine Vitez (1ère diffusion : 10/11/1986)
    durée : 00:50:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Alain Veinstein - Avec Antoine Vitez
  • L’invité du lundi - Pierre Daix, autoportrait radiophonique (1ère diffusion : 26/05/1976)
    durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - L'invité du lundi - Pierre Daix, autoportrait radiophonique (1ère diffusion : 26/05/1976) Par Michel Gonzales et André Mathieu - Avec Pierre Daix
  • Les chemins de la musique - Si Charlot m'était chanté (1ère diffusion : 27/12/2002)
    durée : 00:34:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Jurgen Pletsch - Avec Joséphine Chaplin, Kate Guyonvarch, Bruno Deloye et Géraldine Chaplin - Réalisation Marianne Manesse
  • Musique de notre temps - Jean Grémillon et la musique (1ère diffusion : 15/12/1981)
    durée : 01:15:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Georges Léon - Avec Irène Joachim
  • Poésie ininterrompue - Claude Minière (1ère diffusion : 23/04/1978)
    durée : 00:39:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Claude Royet-Journoud - Présentation Gérard-Georges Lemaire - Avec Claude Minière (traducteur des poèmes d'Ezra Pound)
  • Le mystère Copernic
    durée : 00:50:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Troisième et dernier épisode de l'émission "Un homme, une ville" consacrée à Copernic en 1978. Nicolas Skrotzky et Jean-Pierre Verde arpentent les bibliothèques et musées de Cracovie à la recherche de manuscrits et lettres sur le grand astronome qui fut aussi médecin et chanoine. Un mystère entoure l'existence de Nicolas Copernic. Comment un homme a-t-il pu renverser quinze siècles d'astronomie en délogeant la terre du centre du monde au profit du soleil ? De quelle façon, alors qu'il fut aussi chanoine et médecin, se consacra-t-il à ses travaux astronomiques dont la portée fut littéralement renversante.  C'est pour donner quelques pistes de réponses à ces questions, qu'en 1978 Nicolas Skrotzky partait sur les traces de Copernic à Cracovie pour trois émissions de la série "Un homme, une ville". Dans le dernier volet, avec l'astronome Jean-Pierre Verdet, il menait l'enquête dans les musées et bibliothèques de la ville à la recherche des manuscrits et des lettres pouvant nous renseigner sur la vie de ce personnage fascinant.  * Ecouter le premier volet de l'émission, le deuxième. Production : Nicolas Skrotzky  Un homme, une ville - Sur les traces de Copernic à Cracovie 3/3  1ère diffusion : 02/08/1978 Indexation web : Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France
  • Moebius : "C'est difficile de parler de Dieu de façon aussi familière, ça fait un peu facteur-cheval, mais pourquoi pas ?"
    durée : 00:55:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dieu, l'enfance, le dessin et le talent. C'est sur ces sujets que le dessinateur Moebius a choisi de s'étendre lors d'un entretien en 1985 avec Fabrice Pinte sur France Culture. Ce n'était pas Jean Giraud, ce n'était pas Gir, c'était bien Moebius qui était l'invité de Fabrice Pinte le 4 août 1985 sur France Culture, même si, comme chaque amateur de bande dessinée le sait bien, un seul créateur se cachait, ou ne se cachait pas du reste, derrière ces trois identités.  * Lors de cet entretien, il était question d'utiliser des recettes pour la bande dessinée, des recettes qui passaient par le cour. Mais Moebius se questionnait aussi sur le statut de créateur, sur la diffusion de ses ouvres et la capacité à les passer dans le bon journal, au bon prix, sans se faire manipuler par le rédacteur en chef.  Dans cette émission il n'était pas tant question de bande dessinée que de Dieu, du talent, de l'enfance pas tellement heureuse, de l'activité de dessiner qui est auto-hypnotique et avec en sus, un conseil : ne pas se débarrasser trop bien d'un défaut qui peut être un don.  Il y a 4-5 ans, j'ai eu l'impression d'être manipulé par la société, qui voulait me presser comme une pomme pour tirer du cidre, ou du raisin pour tirer du vin, et moi c'était pour en tirer du dessin. J'ai eu un mouvement de révolte où je me suis dit "Je vais arrêter de dessiner pour leur montrer à ces chiens, ils ne m'auront pas". C'était une attitude légitime, normale, parce que je n'avais pas encore vu que ce n'était pas la société qui me demandait de dessiner, c'était Dieu qui m'avait mis littéralement ce don dans les pattes pour que je fasse un travail, pas pour lui mais pour les Hommes, pour moi aussi bien sûr. Donc d'un seul coup tout s'est apaisé, je me suis remis à ma table à dessin. C'est difficile de parler comme ça de Dieu de façon aussi familière, ça fait un peu facteur-cheval. Mais pourquoi pas ? C'est ce que j'ai ressenti en tout cas. Souvent quand on a des problèmes dans la vie, quand on a des tares, des vices comme on dit, bon, c'est ennuyeux, mais c'est comme si ça signalait une qualité, la possibilité d'un don. Le défaut, c'est la gangue du diamant. C'est pour ça qu'il faut faire attention quand on veut se guérir d'un défaut, c'est parfois nécessaire, mais il faut le faire avec attention, parce que si on se débarrasse trop bien de ce défaut, on risque d'être amputé d'une dimension, d'une chance. Quand on commence à lire des livres vraiment allumés, Miller, ou Roussel ou Vian, on ne peut plus vraiment dessiner du cow-boy 24 heures sur 24. C'est dur d'être bon, c'est dur d'être juste, c'est dur d'être généreux, c'est dur d'être beau. On y arrive d'accord, mais c'est dur ! On a l'impression qu'à une certaine époque c'était moins dur, il suffisait de naître, de respirer et puis on était beau. Quand on voit les êtres humains aujourd'hui, surtout ceux qui vivent dans les sociétés avancées, qu'est-ce qu'ils sont laids !" Par Fabrice Pinte  Avec Moebius  Réalisation Annie Delers Entretien - Moebius, dessinateur  1ère diffusion : 04/08/1985
  • Les héros de notre enfance (1ère diffusion : 25/12/1988)
    durée : 01:00:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Renée Elkaïm-Bollinger et Jean-Louis Ezine - Avec Fred Personne (comédien), Marc-Alain Ouaknin (rabbin), Bernard Pivot (producteur de télévision), Alberto Moravia (écrivain) et Sonia Rykiel (styliste) - Réalisation Jean-Jacques Vierne
  • Mémoires du siècle - Margot Capelier, Directrice de casting (1ère diffusion : 06/05/1990)
    durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Cécile Hamsy - Avec Margot Capelier - Réalisation Noureddine Sahlouni
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