Plus que 10 jours pour atteindre le but!
L'objectif de 3500€ est en vue, mais rien n'est encore acquis!
Un grand merci aux généreux contributeurs qui ont déjà permis de réunir près de 75% de la somme
jusqu’au 27 octobre, rendez-vous sur le site de financement participatif :
https://www.ulule.com/quatuors-stanislas/
Vous y trouverez tous les détails du projet, avec des extraits musicaux, la façon de le soutenir*, la réduction d’impôts de 66%, ainsi que les nombreuses contreparties proposés en fonction de votre soutien.
*Si vous préférez éviter un paiement en ligne, vous pouvez faire un chèque à l’ordre de : Ensemble Stanislas / 11 Grande Rue / 54000 Nancy (Projet Beethoven)
On connaît le caractère ombrageux de Beethoven, qui a toute sa vie refusé d'être le valet des princes, fussent-ils de généreux mécènes. C'est ainsi qu'il s'est brouillé en 1806 avec le prince Lichnosvsky, qui prétendait lui imposer de jouer devant des officiers français qui occupaient Vienne. Il claque alors la porte du château, renonçant du même coup à sa pitance, et écrit dès le lendemain à son mécène: "Prince, ce que vous êtes, vous l'êtes par le hasard de la naissance. Ce que je suis, je le suis par moi-même. Des princes, il y en a et il y en aura encore des milliers. Il n'y a qu'un Beethoven." Apparemment, le prince en était conscient, puisqu'ils se sont réconciliés par la suite. Voici le finale du quatuor opus 18 no2, en réalité le premier qu'il écrivit, qui résume parfaitement le caractère indomptable du maestro: